Les tatouages, quand l'encre fait office de bijou sur la peau...
Les tatouages, ces bijoux de peau indélébiles aux motifs variés racontent chacun une histoire, celle de chaque personne, moment ou propre à une culture. Gravures superficielles où l'aiguille vient à la rencontre de la surface cutanée pour ancrer l'art finement, cette modification corporelle fait couler beaucoup d'encre. Simple effet de mode, émancipation ou moyen d'expression, le phénomène des tattoos se démocratise peu à peu. Marilyn, tatoueuse à la tête du salon de tatouage Art D'Fi Tattoo situé dans la ville phocéenne, nous en dévoile un peu plus sur cette tendance artistique qui couvre le corps...
Positionnement du tattoo sur le bras par Marilyn à l'aide d'un stencil... |
Le tatouage, est-ce un besoin impulsif de s'affranchir, de se différencier ou encore de se rebeller ? La plupart des personnes anti-tatouages trouvent cette pratique ornementale vulgaire voire inappropriée et d'autres y voient un art singulier où le corps sert de support artistique. La popularisation de sa pratique a atteint un tel point culminant sur tout le globe, qu'elle a fini par être professionnalisée outre le fait qu'il reste malheureusement des salons de tatouages sauvages.
Don inné pour le dessin ou acquis par l'intermédiaire d'études au sein d'un établissement artistique comme les Beaux-Arts, cette pratique fait de plus en plus d'adeptes se lançant dans la spirale du tatouage. Être tatoueur ne s'improvise pas et il ne suffit pas d'être seulement "bon en dessin" pour pouvoir tatouer. En effet, la professionnalisation du tatouage passe par de l'apprentissage au sein-même des salons où les tatoueurs chevronnés encadrent l'apprenti qui se verra délivrer une attestation comme l'indique la S.N.A.T. (Syndicat National des Artistes Tatoueurs). Certains se reconvertissent en effectuant des formations ou en suivant des classes préparatoires auprès d'organismes tels que l'École Française du Tatouage à Paris. Cependant, la pratique régulière reste tout de même hautement préconisée afin de développer sa dextérité. Une pratique nécessitant également des pré-requis formalisés par des structures habilitées dans l'hygiène car la manipulation d'aiguilles et la stérilisation du matériel ne sont pas des faits anodins. Afin de mieux comprendre l'univers du tatouage, Marilyn fondatrice du salon Art D'Fi Tattoo nous aiguille sur cette pratique fascinante...
Du matériel à usage unique et des encres veganes pour une hygiène irréprochable ! |
Le tatouage historiquement et initialement est une méthode ancestrale employée par des tribus afin de signifier une appartenance ou pratiquée lors de rites initiatiques. Le plus vieux tatouage a été retrouvé sur un homme qui aurait vécu il y a 5 000 ans. Symboles protecteurs associés aux traditions tribales comme chez le peuple maori, le tatouage a vite pris un tournant controversé. En effet, avant et pendant les temps coloniaux, les esclaves étaient marqué afin de les reconnaître et de savoir à quel propriétaire ils appartenaient. En 1891, la première machine à tatouer fut inventée par Samuel O'Reilly aux États-Unis, cette pratique prit une ampleur phénoménale ! D'abord attribué et porté par les marginaux tels les bagnards, les femmes de petites vertus ainsi que les hors-la-loi membre d'un gang ou non, le tatouage faisait office d'identification. Adopté par les bad boy du genre junkie, biker ou rockeur, le tatouage prit une dimension s'associant à la rébellion ainsi qu'à l'émancipation au cours des années 70. Le tatouage se démocratise en atteignant un public beaucoup plus large dans les années 90 où il devient un effet de mode tendance que les stars du moment s'offrent aussi. Une expansion des ouvertures de tattoo shop s'est développées de façon exponentielle au milieu du XIX et au XXème siècle. De révolte à la totale banalisation, le tatouage est devenu un moyen à part entière de communication et d'expression, une sorte d'émancipation gravée sur le corps ; même les policier ont des tattoos ! Entre culte du corps et acceptation de soi, cette pratique distinguant la personnalité d'un individu à un autre est considéré comme une oeuvre d'art où le corps devient un terrain de jeu artistique...
Marilyn, la Girl Boss à l'origine de ce Tattoo Shop Made In Marseille en pleine action ! |
Marilyn, c'est une femme passionnée et douée qui a effectué un parcours professionnel remarquable. En sortant de la 3ème, elle se rend compte qu'elle adore le dessin, s'ensuit alors des études dans ce domaine où en 1996 elle eut le diplôme de dessinateur maquettiste. Nous sommes donc à l'orée de Photoshop®, de son développement ainsi que de l'émergence de nouvelles technologies marquant le début des filtres puis des montages photos. Marilyn eut son bac en 2000 et continua sa lancée dans une École des Beaux-Arts pendant 3 ans afin d'obtenir le Diplôme National d'Arts et Techniques (DNAT). En 1ère année de ce cursus elle étudia le design d'intérieur puis le stylisme des matériaux.C'est au cours de ces études que Marilyn découvrit qu'elle aimait enseigner. Elle laissa donc de côté l'architecture pour se consacrer pleinement à l'enseignement où elle dispensa des cours de Photoshop® à divers cursus scolaires tels que BTS, BEP et CAP. Et le cheminement de l'enseignement ne s'arrêta pas là pour Marilyn qui devint directrice pendant 2 ans dans une école d'art ! L'envie d'être maman se fit ressentir et Marilyn s'arrêta 6 mois pour être une super maman (elle l'est toujours ^^). Elle chercha à se reconvertir car elle ne souhaitait plus faire d'horaires honnêtement non adaptées à la vie familiale. Son rôle de maman ne pouvait être épanoui que si elle travaillait. Le dessin l'appelle, il fallait qu'elle dessine pour qu'elle refasse quelque chose, elle retourna donc à sa première passion de jeunesse : le tatouage.
À tout juste 18 ans, elle pensait au tatouage mais elle a pris le temps de faire mûrir sa réflexion pour devenir tatoueuse à 30 ans. Marilyn est une femme audacieuse qui a ouvert son salon de tattoos à Marseille. Elle a osé faire sa place dans un univers particulièrement masculin qui a tendance à s'ouvrir de plus en plus à la gente féminine et c'est une bonne chose ! Son salon fonctionna immédiatement, une chance pour elle ou plutôt un travail de longue haleine qui lui a permis d'être la patronne de Art D'Fi Tattoo qui est ouvert depuis maintenant 5 ans. Marilyn aime son travail et cela se constate par la qualité des prestations et des créations qu'elle propose au sein de son salon de tattoos. Épanouie dans un travail qui ne lui laisse pas le temps de souffler, elle a réuni des tatoueurs qu'elle a elle-même formé. Son salon de tatouages est ouvert régulièrement où elle travaille 7/7 jours. En étant la Girl Boss de son institut de tatouages, elle voit l'envers du décor comme par exemple lors de la fermeture du salon afin de faire un break pendant les vacances, n'est pas tellement possible. Peu de pauses, mais un travail épanouissant où dès que l'on rentre dans le tattoo shop, on se sent à l'aise dans une atmosphère familiale et chaleureuse. Certains clients envoient même des photos de leurs tatouages lors de leurs vacances, une manière de recréer une carte postale de façon insolite de leurs voyages où ils emmènent leurs arts avec eux. Le tattoo, c'est tout de même beaucoup de travail comme le mentionne Marilyn, mais c'est un plaisir pour l'équipe Art D'Fi Tattoo de voir leurs clients plus qu'heureux après chaque tatouage. À Art D'Fi Tattoo c'est devenu un automatisme, la personne vient avec son histoire et elle repart avec gravée sur la peau. C'est une joie pour l'équipe de Marilyn, qui selon elle, le tatouage s'apparente à de l'art-thérapie. En effet, comme elle l'explique si bien, c'est comme si les personnes souhaitant se faire tatouer sont les écrivains de leurs propres histoires en les racontant aux tatoueurs, qui les mettent en image. Le tatouage en lui-même est irréversible, cette pratique une fois effectuée fait partie intégrante de nous et il faut donc bien réfléchir avant de sauter le pas. Art D'Fi Tattoo, c'est le salon de tatouages à Marseille proposant des services très qualitatifs avec soin et une hygiène irréprochable. La preuve, beaucoup de personnes viennent de loin pour s'orner d'un art des plus fins et authentique dans ce tattoo shop ! Le bouche à oreille concernant ce salon est passé au 2.0 où l'on peut retrouver les aventures de toute la Team Art D'Fi Tattoo sur les réseaux sociaux. Quand le tatouage se modernise et partage son univers artistique, on ne peut qu'adorer !
Les tatouages une passion qui n'a presque plus aucun secret pour Marilyn ! crédit photo : @MethyLenes |
MilkyAway : Que représente le tatouage pour toi ?
Marilyn : Le tatouage revient à mon premier amour lorsque j'avais 15 ans. Avant, on ne demandait pas l'autorisation pour se faire tatouer, il y avait donc beaucoup plus de liberté car ce n'était pas encore bien développé. Cependant, le tattoo est mal vu et reste encore péjoratif. Il est perçu comme marginal, une émancipation voire une rébellion qui s'est peu à peu démocratisé. Les gens ont compris que leurs corps leurs appartiennent, on sort du système religieux et il constitue de moins en moins un code sociétaire où les personnes portant un tatouage avaient peur qu'il se voit par leurs parents ou leurs patrons. Le tatouage est une pratique pour nous-même, soi-même, il n'y a pas de retour n arrière, c'est pour la vie. À partir du moment que je fais un tatouage, je l'ancre dans la peau à jamais.
MilkyAway : Quelle est ta spécialité ?
Marilyn : Il n'y a pas vraiment de spécialités ou de styles spécifiques. Je tatoue très finement, du coup on retrouve des tattoos en liner (fine ligne), en dots (points) du dégradé léger, des détails comme de la dentelle ou de la sculpture voire du dark.
Marilyn : Il n'y a pas vraiment de spécialités ou de styles spécifiques. Je tatoue très finement, du coup on retrouve des tattoos en liner (fine ligne), en dots (points) du dégradé léger, des détails comme de la dentelle ou de la sculpture voire du dark.
MilkyAway : Que ressens-tu lorsque tu tatoues ?
Marilyn : Lorsque l'on tatoue on ressent un certain repos mental comme lors d'une pause yoga. Tu es dans ta bulle, dans le plaisir, une thérapie positive. C'est comme si tu es stone après avoir tatoué car tu es claquées. Le tatoueur a un plein de sérotonine, la personne qui se fait tatouer après la pratique est elle aussi dans cet état positif en libérant des endorphines. Le tatouage dans sa pratique a ce côté relaxant comme le yoga.
Marilyn : Lorsque l'on tatoue on ressent un certain repos mental comme lors d'une pause yoga. Tu es dans ta bulle, dans le plaisir, une thérapie positive. C'est comme si tu es stone après avoir tatoué car tu es claquées. Le tatoueur a un plein de sérotonine, la personne qui se fait tatouer après la pratique est elle aussi dans cet état positif en libérant des endorphines. Le tatouage dans sa pratique a ce côté relaxant comme le yoga.
MilkyAway : Comment travailles-tu (outils, pédagogie avec la personne désirant se faire tatouer) ?
Marilyn : Au salon, on prend le temps de voir avec la personne ce qu'elle veut vraiment, si on voit qu'elle hésite, on ne la force pas et on préfère qu'elle revienne plus tard. Il faut qu'elle soit sûre de son tattoo et par précaution. Tout d'abord on pose à l'écrit le tatouage à l'aide d'un support qui peut être une idée, une image, un style. On conseille aussi pour le style calligraphique à la personne souhaitant se faire tatouer des lettrages, le site Dafont proposant des écritures avec une multitude de polices.On peut même affiner les détails comme par exemple un pissenlit dans une rose. L'histoire de la personne ainsi que son désir est visionné sur un ordinateur où l'on montre plusieurs versions du tatouage, on apporte la patte artistique ; en travaillant des séparations visuelles, les détails ou très peu de détails (formes, emplacement sur le corps,...). La personne peut venir le modifier et le retravailler avec nous car le tattoo reste un bijou sur le corps. Le travail après le rendez-vous avec la personne consiste à travailler sur des calques séparés sur le logiciel Photoshop®. Une fois que le tatouage est bien validé, on procède au transfert sur un stencil et la personne choisit l'endroit où elle souhaite se faire tatouer.
Marilyn : Au salon, on prend le temps de voir avec la personne ce qu'elle veut vraiment, si on voit qu'elle hésite, on ne la force pas et on préfère qu'elle revienne plus tard. Il faut qu'elle soit sûre de son tattoo et par précaution. Tout d'abord on pose à l'écrit le tatouage à l'aide d'un support qui peut être une idée, une image, un style. On conseille aussi pour le style calligraphique à la personne souhaitant se faire tatouer des lettrages, le site Dafont proposant des écritures avec une multitude de polices.On peut même affiner les détails comme par exemple un pissenlit dans une rose. L'histoire de la personne ainsi que son désir est visionné sur un ordinateur où l'on montre plusieurs versions du tatouage, on apporte la patte artistique ; en travaillant des séparations visuelles, les détails ou très peu de détails (formes, emplacement sur le corps,...). La personne peut venir le modifier et le retravailler avec nous car le tattoo reste un bijou sur le corps. Le travail après le rendez-vous avec la personne consiste à travailler sur des calques séparés sur le logiciel Photoshop®. Une fois que le tatouage est bien validé, on procède au transfert sur un stencil et la personne choisit l'endroit où elle souhaite se faire tatouer.
MilkyAway : Quelle est la plus grosse pièce qui t'as pris le plus de temps ?
Marilyn : Cela peut être du 3 fois 6 heures pour une partie d'un tatouage comme un client pour son premier tatouage qui a demandé un lion sur tout le dos. Il a tellement aimé que l'on a passé au final 5 fois 6 heures pour compléter le tatouage en intégrant une lionne et son environnement la savane. On a aussi passé 160 heures de travail en quelques mois sur le corps d'une cliente. Un jour, un client âgé de 70 ans est venu au salon et il avait zéro tatouage. Cela fait deux et demi qu'il vient au salon afin de se faire tatouer en moyenne une fois par mois. Papy Rock (son surnom) a maintenant 73 ans et il a pratiquement tout le corps tatoué, c'est devenu la mascotte du tattoo shop.
Art D'Fi Tattoo, l'adresse incontournables des tatouages tendances réalisés en toute sécurité ! |
Ouvert en 2014, ce salon de tatouage sur Marseille animé par une équipe bienveillante et chaleureuse où Marilyn s'est entourée de supers tatoueurs qu'elle a elle-même formé. Tout d'abord avec Virgile, qui à l'origine était ébéniste. De ébéniste à tatoueur, ses transferts d'habiletés en dessin et son souci du détail lui ont permis d'intégrer l'équipe depuis 5 ans. Marilyn l'a pris sous son aile en formation tattoo professionnelle où elle lui a appris techniques et lâcher prise. Puis en janvier dernier, Kévin intégra l'équipe Art D'Fi Tattoo. Une jolie coïncidence car Kévin était l'élève de Marilyn où il eut sa maîtrise de dessin designer d'objets et graphiste photo. Pédagogie et passion on fait que Marilyn a formé un trio de chocs de tatoueurs artistiques passionnés avec Virgile et Kévin (surnommés Tic&Tac ^^). Un salon où l'hygiène est une condition sine qua non avec un matériel à usage unique à 100%. Afin de minimiser les risques allergènes, le latex est proscrit du salon (gants,...) et ils utilisent de l'encre vegan qui est très qualitative. De plus ils proposent des balm tattoo pour apporter les soins post-tatouages adéquats afin de faciliter la cicatrisation ; eux aussi vegans. Ici à Art D'Fi Tattoo, on prend le temps avec une équipe à l'écoute et qui ne met pas de pression pour se faire tatouer. La pédagogie et le travail extra font la force de ce salon de tatouage made in Marseille !
Je tiens à remercier du fond du cœur ma belle Marilyn pour m'avoir permis d'effectuer cette entrevue avec bienveillance au sein de son salon de tatouage. Une personne adorable et admirable que j'ai rencontré auparavant lors de l'inauguration de la journée de la femme à Marseille organisée par Femmes de Mars ; et qui a su s'imposer dans un univers assez particulier en tant que femme. Passionnée par son travail qui se ressent dans ses créations, pédagogue et sincère, je suis tellement reconnaissante de la chance qu'elle a pu m'accorder pour cette interview insolite. Un agréable moment passé parmi la Team Art D'Fi Tattoo très accueillante. Pour suivre leurs nombreuses créations et leurs aventures, vous pouvez découvrir leur monde sur leur page Facebook® @artdfi ainsi que sur Instagram® @art.dfi.tattoo.
Que pensez-vous des tattoos ?
En avez-vous ?
Connaissez-vous le salon de tatouages Art D'Fi Tattoo sur Marseille ?
Ce présent article a simplement pour objectif de découvrir l'histoire du tatouage, puis de mettre en lumière le salon de tatouage professionnel marseillais Art D'FI Tattoo qui effectue leurs prestations avec les mesures hygiéniques rigoureuses. Cet article, ne constitue en aucun cas une incitation à se faire tatouer qui n'est en aucun cas un acte banal. Un tatouage est dûment réfléchit et nous déclinons ainsi toute responsabilité en cas d'inconscience, d'irresponsabilité puis de non-respect des règles d'hygiène liées au tatouage.
* Photos retouchées (recadrage et filtre)
COUCOU
RépondreSupprimerje ne suis pas fan des tattoos,merci pour ton article
Bonne journée Biz
Coucou ma belle Bibatine ♥, je peux comprendre ma belle ;) Merci à toi pour ton joli passage, très belle journée et pleins de gros bisous
SupprimerHello !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les tatouages, je trouve très beau et sexy ! Je rêve de m'en faire, je sais même les motifs que je veux, mais j'ai la trouille de la douleur. bisous
Hello ma jolie Vanessa ♥, je suis entièrement d'accord avec toi, le tatouage c'est comme une valeur ajoutée artistique qui se transforme en bijou sur la peau ! Je comprends et après la douleur cela dépend de la personne, du tatoueur comment il tatoue et de la taille de la pièce que tu désires te faire tatouer :) Pour ma part j'en ai deux petits (oui parce qu'il faut bien commencer par des petits lol ^^) qui ont été très supportables, on verra pour les deux autres que je vais faire sous peu, je t'en dirai des nouvelles ;)... Pleins de gros bisous
SupprimerCoucou ma jolie Milky, j'adore les tatouages ! c'est vraiment symbolique !
RépondreSupprimerJ'en ai un sur l'omoplate et j'aimerai beaucoup en faire d'autres.
dommage que Marylin soit si loin sinon je pense que je l'aurai bien rencontré car j'aime les tatouages fins ! des gros bisous
Coucou ma belle Coopine ♥, oh c'est vrai ?! Je confirme le tatouage à ce mystère, cette codification personnelle qui fait partie intégrante de nous-même. Oh c'est top, ah oui une fois qu'on en fait dur de s'arrêter après, c'est bien connu ;) Si jamais tu es dans le coin dans le Sud ou vers Marseille je pense qu'elle sera ravie ! Pleins de gros bisous
Supprimer